5 février, des dirigeants, des pasteurs et des responsables de ministères de tout Israël se sont réunis à Netanya pour une soirée spéciale organisée par le ministère Be'ad Chaim.
Un pourcentage important des femmes qui viennent nous voir ont vécu un avortement qui leur a causé un profond chagrin et des regrets. La grossesse est l'ultime espoir pour l'avenir - une nouvelle vie qui grandit à l'intérieur d'une femme est son avenir.
En ce début d'année 2025, nous nous remémorons la tristesse de l'année de guerre écoulée, mêlée à la joie d'un baby-boom en Israël et à Be'ad Chaim. En 2024, plus de 500 bébés sont nés dans notre famille Be'ad Chaim !
L'annonce de la naissance de L'ENFANT - LE ROI a rempli et remplit encore les cœurs d'une grande joie. Souvent, les femmes qui viennent nous voir dans le cadre d'une grossesse en crise pensent qu'elles n'ont pas de place dans leur cœur pour un bébé.
Heureusement, les mamans que nous suivons n'ont pas été capturées, mais beaucoup d'entre elles ont l'impression d'être prisonnières de difficultés et de traumatismes.
Comme vous le savez, cette année a été extrêmement difficile. La guerre qui a commencé il y a un an, le 7 octobre, a engendré de la tristesse et du chagrin au sein de notre pays.
Là où il y a beaucoup de peur et de souffrance, il faut faire preuve d'une extraordinaire gentillesse. L'équipe de Be'ad Chaim s'efforce de se revêtir de compassion, de bonté, d'humilité, de douceur et de patience.
Lorsque des femmes s'adressent à nous pour obtenir de l'aide dans le cadre d'une crise de grossesse, leur besoin immédiat et évident est qu’elles aient le courage et la capacité matérielle de choisir la vie pour leur enfant.
Depuis 8 mois, Israël est en guerre. En guerre non seulement dans notre pays, mais nous voyons aussi dans le monde entier, l'antisémitisme et la haine s'abattre sur notre peuple.
Quel est le bon moment pour avoir un bébé ? On entend souvent : « Un bébé va ruiner mon avenir ». Notre conseillère, Miriam, avait 16 ans et était SDF lorsqu'elle est tombée enceinte de son premier fils,
Parfois, un héros peut être une personne à laquelle on n’aurait jamais pensé. Pour moi, beaucoup des mères à Be'ad Chaim sont des héroïnes, et sont incroyablement courageuses.
Alors que nous célébrons la Pâque ce mois-ci, nous nous souvenons que Dieu a apporté au peuple d'Israël la liberté à la place de l'esclavage.
Depuis le début de la guerre, partout où nous regardons, nous voyons des visages. Des visages d'otages. Des visages de soldats tombés au combat. Des visages de familles endeuillées. Pourtant, même au milieu de la douleur, la vie est là.
J'ai récemment rendu visite à notre conseillère Yael, qui s'occupe des femmes à Ashkelon et Ashdod, où nous aidons plus de 70 jeunes mamans et femmes enceintes.
L'illogique devient logique lorsque nous regardons au-delà des circonstances et que nous nous tournons vers Dieu. Sarah a donné naissance à Isaac alors qu'elle avait 90 ans.
Lorsque Jésus est né, toute la Palestine juive, ainsi que les régions païennes voisines, étaient gouvernées par Hérode le Grand, un roi nommé par les Romains. Dans Luc 2, nous lisons qu'Hérode a ordonné à ses soldats de massacrer les enfants innocents de Bethléem dans le but de tuer l'enfant Jésus, dont Hérode craignait qu'il ne finisse par s'emparer de son royaume.
Le 7 octobre 2023, la vie du peuple d'Israël a changé. L'attaque terroriste du Hamas nous a stupéfiés par sa brutalité. Dans mes newsletters, j'ai souvent mentionné notre combat pour protéger la vie des enfants à naître.
Nous nous sommes réjouis de voir de nombreuses personnes des nations et du Corps du Messie en Terre d'Israël, nous rejoindre dans la prière pendant les 10 jours entre Rosh Hashanah et Yom Kippour, en utilisant notre dévotion quotidienne pour la vie.
NOUS AGISSONS. Par le biais des médias et des contacts avec les travailleurs sociaux, nous tendons la main aux femmes en situation de grossesse critique afin de protéger les mères et les bébés sur le plan émotionnel et pratique.
Alors Jésus s’adressa aux autres : J’ai une question à vous poser : Est-il permis, le jour du sabbat, de faire du bien, ou de faire du mal ? Est-il permis de sauver une vie ou bien faut-il la laisser périr ? Il balaya alors l’assistance du regard, puis il dit à cet homme :