J'ai été interpellée par une question posée à notre conseillère, alors qu'elle encourageait une femme enceinte à choisir la vie pour son enfant à naître. La femme ne comprenait pas pourquoi la conseillère s'en souciait et a demandé : "Quelle différence cela fait-il ?" Cet enfant, comme chaque enfant dans le ventre de sa mère, a été créé à l'image de Dieu pour Ses plans. Dieu a insufflé son souffle de vie dans chaque enfant. "Avant de te former dans le ventre de ta mère, je te connaissais, et avant que tu naisses, je t'avais consacré..." (Jérémie 1.5). "C’est toi qui as formé mes reins, qui m’as tissé dans le ventre de ma mère... Je n’étais encore qu’une masse informe, mais tes yeux me voyaient, et sur ton livre étaient inscrits tous les jours qui m’étaient destinés avant qu’un seul d’entre eux n’existe." (Psaume 139.13,16). La vie de chaque personne, créée à l'image de Dieu, connue de Lui avant le ventre de sa mère, a une grande valeur. "Ouvre ta bouche pour celui qui ne peut pas s’exprimer, pour la cause de tous les délaissés ! Ouvre ta bouche, juge avec justice et défends le malheureux et le pauvre !" (Proverbe 31.8-9).
Soyez bénis pour avoir pris soin de ces petits, de ces personnes sans défense. "Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait cela à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait." (Matthieu 25.40).
Lucas a eu 1 an en août. C'est un bébé adorable, mais malheureusement, il a de nombreux problèmes de santé. Il a déjà subi deux opérations de l'abdomen et son alimentation est problématique. Ses problèmes physiques ont entraîné un retard de développement, et il ne marche pas encore.
Sa mère Fida, réfugiée d'Érythrée, se démène comme elle peut. Le père de ses deux fils lui rend visite de temps en temps mais ne l'aide pas financièrement. Récemment, Fida a déménagé à Tel Aviv parce que son fils aîné, Ben-El, qui vient d'avoir 5 ans, a été diagnostiqué autiste et ne parle pas. Il fréquente désormais une école spécialisée, située à Tel Aviv.
Fida avait commencé à travailler avant de déménager, mais c'est maintenant trop loin de son domicile et elle essaie de trouver un emploi qui corresponde aux heures où ses garçons sont à l'école. Bien que Fida ait du mal à faire face seule à toutes les difficultés que rencontrent ses enfants, elle est très heureuse d'être leur mère. Elle est également extrêmement reconnaissante pour l'aide généreuse qu'elle a reçue l'année dernière, et qui l'a aidée à se sentir moins seule.
Devenez parrain et aidez une mère à choisir la VIE, en pourvoyant à toutes les choses essentielles dont elle aura besoin pour la 1ère année de son bébé.
Shakespeare a écrit : "La conscience fait de nous tous des lâches" (Hamlet, Acte 3). La culpabilité et la honte peuvent amener les gens à la peur : peur de dire la vérité, peur d'être eux-mêmes, peur d'être connus. J'ai rencontré de nombreuses femmes qui semblaient très inhibées et mal à l'aise, parce qu'elles portaient (inutilement) le poids de la culpabilité d'un avortement.
Nombre d'entre elles sont assises dans nos assemblées avec le sentiment d'être des femmes de seconde classe, entravées par le souvenir de leurs péchés et de leurs manquements passés, alors que Dieu nous offre la liberté et le pardon. Une fois guéries, ces femmes peu sûres d'elles, sont transformées en des femmes confiantes en ce que Dieu a voulu qu’elles soient.
Notre brochure, "Restaurer un Cœur Brisé", a été récemment complétée en hébreu et en anglais. Elle est basée sur le merveilleux livre de Linda Cochraine "Pardonnée et libérée". "Restaurer un Cœur Brisé" utilise les passages du Tanach (Ancien Testament), comme outil de guérison pour les femmes juives religieuses. Après avoir suivi un cours de guérison, les femmes sont encouragées à planter un arbre dans les Jardins de la Vie, pour honorer et se souvenir des bébés qui n'ont pas pu être portés. La culpabilité s'estompe et les Jardins de la Vie fleurissent d'une nouvelle LIBERTÉ.
Plant a tree and find healing after the loss of a baby through miscarriage, abortion or SIDS - and find comfort, closure, and restoration.
Anita a fait son aliyah (immigration des Juifs en Israël) par le biais d'un programme spécial pour les jeunes et a servi dans l’armée de Tsahal en tant que soldat solitaire : un soldat dont les parents sont à l'étranger. Après l'armée, elle s'est mariée et a commencé à construire une famille. Sa première fille est née en 2019. Il y a 1 an, elle et son mari ont vécu une fausse couche, et à cause de cette grossesse, Anita a perdu son emploi. Elle est rapidement retombée enceinte mais s'est tournée vers nous pour obtenir de l'aide en raison de la situation financière très serrée de la famille.
La précieuse petite fille d'Anita, Maya, est née le 11 septembre, avec des problèmes de santé compliqués : elle souffre de reflux, s'étouffe avec sa nourriture, arrête de respirer et devient bleue. Anita nous a demandé de financer l'achat d'un appareil qui permettra de suivre la respiration du bébé et d'envoyer un signal d'alarme lorsqu'elle cesse de respirer.
Anita dort à peine car elle a peur que son bébé arrête de respirer. Nous sommes reconnaissants d'avoir pu acheter l’appareil pour Maya, afin que cette précieuse nouvelle maman puisse avoir l'esprit tranquille. Nous vous remercions de vos prières pour la santé de Maya.
Dans les premiers mois de l'invasion russe en Ukraine, il y a eu un afflux de mères et de leurs enfants fuyant les zones de guerre vers Israël. Beaucoup d'entre eux retournent maintenant dans leur pays et dans leur famille. Nous avons eu le privilège de pouvoir offrir de l'amour et une aide pratique à certaines de ces précieuses personnes. Notre conseillère Oxana, qui a elle-même immigré d'Ukraine en Israël, était notre personne de contact. Elle a reçu ce gentil petit mot : "Oxana, je voudrais vous remercier du fond du cœur, vous et votre directrice Sandy, pour le grand soutien et l'aide que vous nous avez apportés, à mon fils et à moi. Vous êtes des personnes 100% lumineuses, avec un cœur énorme et bon ! Vous êtes des personnes qui apportent la lumière dans un temps de ténèbres. Que Dieu vous donne, à vous et à vos proches, santé, bonheur et succès. Nous nous souviendrons toujours de vous avec gratitude. Oxana, un grand merci à vous tous. Ce mois-ci, nous rentrons à la maison."
Ces précieux remerciements s'adressent aussi à vous, nos partenaires. Sans votre aide, nous ne pourrions pas offrir un soutien aux mamans et aux bébés. Recevez cette bénédiction de la part de cette maman reconnaissante !
La semaine dernière, j'ai reçu avec joie une photo de la merveilleuse petite Mali qui fêtait son troisième anniversaire. Sa mère Dina, effrayée lorsqu'elle est tombée enceinte, avait pris des pilules pour provoquer l'avortement de son bébé. Les pilules se sont avérées inefficaces et Dina est restée enceinte, mais tous les médecins que Dina a contactés (plus de 30 médecins) lui ont dit qu'elle DEVRAIT faire un avortement chirurgical parce que son bébé naîtrait handicapé.
Dina a finalement appelé notre assistance téléphonique et a été encouragée à poursuivre sa grossesse. Elle a parlé avec des conseillères, a étudié les cas de bébés ayant survécu à des tentatives d'avortements chimiques et a choisi la vie. Mali est une enfant de 3 ans formidable, intelligente et amusante. Dina est profondément reconnaissante pour l'ESPOIR qu'elle a reçu. Elle écrit : "Merci de m'avoir permis de vous trouver, à l'époque où je voulais abandonner...".
De nombreuses femmes veulent avorter à cause de la peur, du choc ou de la solitude. Après avoir rencontré une conseillère attentive et attentionnée, elles choisissent souvent la vie. Ce qui me surprend toujours, c'est qu'après avoir finalement décidé de garder son bébé, une mère devient profondément liée à son enfant, protectrice et attentionnée. Mali avait l'intention d'avorter, mais avant de le faire, elle a demandé à parler à une conseillère qui avait elle-même subi un avortement. Elle voulait savoir comment c'était vraiment.
Nous l'avons orientée vers l'une de nos conseillères, qui a partagé le traumatisme de l'avortement qu'elle avait subi. À la suite de cette conversation et de la relation qui s'est développée entre Mali et sa conseillère, Mali a choisi la vie. Cette lettre, reçue par la conseillère, est remarquable : "Merci beaucoup. Grâce à vous, je poursuis ma grossesse. Ce que vous avez dit a capturé mon cœur. J'essaie de vivre au jour le jour. Cela m'aide. J'ai un contrôle en ce moment parce qu'il semble que l'embryon ait un problème avec son cœur. J'espère que tout ira bien et qu'il sera en bonne santé et entier. Tout à coup, je me soucie vraiment de savoir s'il vit. Alors, je voulais juste vous dire un grand merci. Nous resterons en contact."
Quelque temps après ce message, Mali a envoyé ce message vocal : "Les miracles se produisent. Je suis tellement soulagée ! Le cœur se porte bien à 100% et il n'y a rien à craindre. Merci mon Dieu".
Nous remercions Dieu que le bébé se porte bien dans le ventre de sa mère, protégé et en sécurité. Continuons à prier pour Mali et pour le bon déroulé de l’accouchement.
Ofra et son petit Oriel
Ofra, 19 ans, vient d'une famille religieuse et a fait son service civique au lieu de servir dans l'armée. Elle est en couple depuis plusieurs années avec un jeune homme qui travaille dans un salon de coiffure et qui a un salaire très bas. Le couple vit avec ses parents et sa jeune sœur. Ofra dit qu'elle aime sa famille et qu'ils s'entendent tous très bien. Ils sont religieux, alors par respect, elle porte des manches longues et des jupes.
Lorsqu'Ofra a annoncé sa grossesse à son partenaire, il a eu peur. Il l'aime beaucoup et même si la grossesse n'était pas prévue, il voulait rester à ses côtés, la soutenir et l'épouser. Ofra a été profondément soulagée par sa réponse et s'est réjouie d'épouser un homme aussi fidèle.
Ofra a raconté qu'ils se sont tournés vers nous en raison de leurs difficultés financières pendant la pandémie de COVID-19. Son mari ne trouvait pas d'emploi et ils avaient peur de ne pas pouvoir élever un enfant, seuls. Elle a appelé notre assistance téléphonique et a très vite pris rendez-vous avec l'une de nos conseillères, qui aujourd'hui encore, embrasse Ofra avec amour et chaleur. Ofra était également inquiète, car c'était sa première grossesse et elle venait de commencer ses études à l'université. Elle a trouvé un bon arrangement, puisque bébé Oriel va à la crèche pendant qu'elle étudie.
Elle dit que tout s'est passé si vite : devenir une mère, une étudiante et une épouse. Elle est parfois dépassée, mais aussi très reconnaissante. Parfois, quand c'est difficile pour elle, elle appelle sa conseillère. Elles parlent et prient, et elle peut recevoir des encouragements.
Un mot d'Ofra : "Je remercie l'organisation [Be'ad Chaim] pour toute l'aide et les conseils attentifs qu'elle m'a apportés tout au long de ma grossesse. La grossesse n'a pas été facile pour moi. Je l'ai découverte à un stade avancé et à un très jeune âge. Je pensais à l'avortement et grâce à une recherche Google sur mon téléphone, j'ai trouvé votre organisation. J'ai surmonté la grossesse grâce à Dieu, malgré de nombreux défis. J'ai réussi en grande partie grâce à votre organisation. Beaucoup de messages et d'appels téléphoniques, et "la vérité m'est vraiment tombée dessus un jour" parce que j'étais si confuse au sujet de la grossesse. Je vous remercie sincèrement de m'avoir aidée à choisir de poursuivre la grossesse et de sortir de l'hôpital les bras remplis d’un bébé. Vous faites un travail sacré ! Ce n'est pas à prendre pour acquis."
Provide women with clothing and certain baby items for a full year. Help lessen the financial pressure of buying it all on their own.
Devenez parrain et aidez une mère à choisir la VIE, en pourvoyant à toutes les choses essentielles dont elle aura besoin pour la 1ère année de son bébé.
En septembre, nous avons sauvé 31 bébés de l'avortement. Parmi toutes les femmes qui ont cherché ou envisagé l'avortement, au moins 31 ont choisi la vie. Cela représente au moins un bébé par jour. Nous sommes profondément reconnaissants à Dieu pour chaque bébé sauvé et nous applaudissons nos conseillères qui sont passionnées pour la vie.